Pourquoi jeûner

Nous avons tous différentes raisons de jeûner :
 Curiosité, expérience nouvelle
 Besoin de se retrouver et d’apprendre à mieux connaitre son corps
 Se purifier
 Se soigner
 Retrouver un équilibre physique et psychique
 Ras le bol de tout
 Le surpoids
 Faire une pause, réfléchir, besoin d’avoir du recul pour prendre une décision
Quelles qu’en soient ces raisons, vous y trouverez une solution efficace.

Hippocrate disait : « Nos aliments devraient être nos seuls médicaments. Mais manger quand on est malade, c’est nourrir la maladie »

Avant de déployer « la grande cavalerie », notre corps nous envoie de petits clins d’œil pour nous signaler que notre toxémie augmente et qu’il faut l’aider à se dépolluer.
Ce sont des symptômes de pré-maladie ou « sonnettes d’alarme » que vous pourrez facilement observer le matin au réveil ou au cours de la journée.
La maladie n’est pas encore déclarée mais une succession de petits signaux peuvent être édifiants si l’on prend la peine de se regarder dans la glace sans mettre un voile sur nos yeux…

Ces symptômes sont significatifs d’un mode de vie souvent synonyme d’excès :

 Fatigue permanente pendant la journée
 Frilosité ou bouffées de chaleur
 Allergies
 Démangeaison de la peau
 Migraines
 Douleurs et raideurs articulaires
 Courbatures, douleurs musculaires, crampes nocturnes
 Nervosité, irritabilité, dépression, mélancolie, anxiété
 Diminution de la vision, de l’odorat ou de l’audition
 Pertes de mémoire, apathie, crises de larme
 Rigidité mentale (ou idées fixes) et émotionnelle (armure psychique)
 Insomnie ou besoin exagéré de sommeil (plus de 8 heures)
 Flatulences, lourdeurs, constipation, mauvaise digestion, manque d’appétit
 Troubles sexuels (impuissance, éjaculation précoce, frigidité, etc…)
 Règles douloureuses
 Toux et crachats abondants
 Règles trop abondantes
 Pertes vaginales
 Mauvaise odeur corporelle (aggravé par les produits désodorisants qui bloquent l’élimination et accentue la cause de la mauvaise odeur)
 Haleine forte ou acide
 Tendance à l’obésité
 Teint « brouillé », acné, eczéma
 Transpiration excessive
 Traits du visage fatigués, rides bouffissures
 Langue chargée
 Yeux larmoyants, regard terne, blanc de l’œil jaunâtre
 Cillements très fréquents des cils
 Cernes et poches sous les yeux
 Épilation de la face externe des mollets
 Diminution des lunules des ongles
 Position du corps voûtée
 Écriture saccadée, hachée ou molle et tordue avec de nombreuses lignes descendantes

Chaque individu est unique et présente des symptômes et des signes différents de son voisin.
Observez-vous et sachez que la plupart de ces états toxémiques disparaissent pendant le jeûne.
Tous les tissus et les organes vont pouvoir se dépolluer en profondeur et se régénérer.
Ce processus procure un rajeunissement extraordinaire.

Le jeûne permet un repos complet du tube digestif, ce qui permet au corps de récupérer beaucoup d’énergie pour son travail de dépollution.
On croit qu’on mange pour avoir des forces... Certes ! mais beaucoup trop par rapport aux besoins de notre organisme.

Nous mangeons en moyenne 3 à 10 fois plus que nos besoins réels.

La suralimentation généralisée de nos pays « civilisés » demande au corps des efforts considérables pour digérer et éliminer tout ce qu’on ingère.
Il finit par s’épuiser !

Votre motivation sera donc fonction de différents éléments :

 Curiosité, expérience nouvelle
 Besoin de se retrouver et d’apprendre à mieux connaitre son corps
 Se purifier
 Se soigner
 Retrouver un équilibre physique et psychique
 Ras le bol de tout
 Le surpoids
 Faire une pause, réfléchir, besoin d’avoir du recul pour prendre une décision

Le jeûne envisagé comme thérapie ?

Pourra-t-on un jour prescrire quelques jours de jeûne à la place de médicaments ?
Cette épineuse question fait hurler certains scientifiques quand elle en passionne d’autres.

Des études menées dans plusieurs pays ont souligné l’intérêt de la privation calorique sur la santé, mais en France le corps médical la voit d’un mauvais œil.

Que peut-on attendre du jeûne ?

Quels ont été les effets constatés sur l’organisme ?

Thierry de Lestrade et Sylvie Gilman
, réalisateurs d’un documentaire diffusé à plusieurs reprises sur Arte "Le jeûne, une nouvelle thérapie ?" ouvrent la réflexion. Réflexion que Thierry De Lestrade a largement développée dans son livre portant le même titre.

Le cas du cancer :
Dans le passé, plusieurs études ont suggéré des bienfaits de la privation calorique sur la santé (contre l’hypertension, l’arthrite, l’intestin irritable, les troubles du sommeil), bousculant les dogmes de la médecine conventionnelle.
Plus proche de nous, le professeur de gérontologie et de biologie de Californie du sud, Valter Longo fait partie de cette poignée d’irréductibles scientifiques convaincus que le jeûne pourrait être une approche complémentaire aux traitements médicamenteux actuels.

Obsédé par l’idée qu’il tient la clé d’une espérance de vie plus longue en bonne santé,Valter Longo réalise plusieurs expériences qui renforcent ses convictions. Il parvient ainsi à démontrer l’efficacité de courtes périodes de jeûne en complément de la chimiothérapie dans la lutte contre le cancer (étude parue dans Science Translational Medicine en février 2012).

Les rongeurs atteints de cancers à qui on a inoculé à haute dose un produit de chimiothérapie et qui ont suivi un jeûne affichent en effet des taux de guérison de 20 à 40 % (suivant le type de cancer) supérieurs aux rongeurs qui n’ont pas suivi de jeûne.
A ce jour, beaucoup pensent en effet que toute perte de protéines induite par le jeûne est dommageable pour les organismes affaiblis des patients cancéreux, surtout lorsqu’ils doivent se plier à des séances de chimiothérapie.

Les travaux réalisés sur la souris par le professeur Valter Longo, vont à contre-courant de cette idée. Publiés dans Science Translational Medicine, ils montrent chez des souris porteuses de différents types de cancers agressifs que le jeûne peut retarder la croissance de certaines cellules tumorales.
Combiné à la chimiothérapie, le jeûne apporterait une plus-value sur le plan de la tolérance aux traitements et de leur efficacité.

Dans l’expérience de Longo, certains animaux recevaient une alimentation normale, d’autres étaient soumis à plusieurs cycles de jeûne d’une durée de 48 heures – les apports hydriques étaient cependant maintenus. Il apparut notamment que la combinaison de deux cycles de jeûne et de séances de chimiothérapie était plus performante que la chimiothérapie seule.
En outre, de multiples périodes de jeûne associées à la chimiothérapie assurèrent la survie de 20% à 40% des souris souffrant de cancers très agressifs alors qu’aucun animal traité uniquement par chimiothérapie ne survécut.

Autre élément : au terme de la chimiothérapie, qui reposait pourtant sur des doses de médicaments proportionnellement 3 à 5 fois supérieures à celles délivrées en clinique humaine, toutes les souris ayant jeûné étaient vivantes et se mouvaient normalement. Par contre, 65% de leurs congénères dont la chimiothérapie n’avait pas été accompagnée d’une privation de nourriture étaient mortes, les survivantes, très affectées par le traitement, restant prostrées dans un coin de leur cage.
Certains patients rapportent avoir pratiqué un jeûne court avant des séances de chimiothérapie. Ils disent que cette pratique leur a permis de mieux supporter leur traitement.

Pourquoi ça marche ?

Chez la souris, le jeûne potentialiserait l’effet de la chimiothérapie et réduirait ses effets secondaires. Mais par quel processus ? Selon les travaux de Valter Longo sur différents types de cellules saines, l’expression des gènes change radicalement après deux jours de jeûne. Tout se passe comme si, répondant à une mémoire ancestrale, ces cellules se mettaient en« mode de protection ». Or il apparaît que, victimes des mutations qu’elles présentent, les cellules cancéreuses, elles, auraient perdu cette mémoire de l’évolution et ne pourraient accéder à ce mode. Leur sensibilité à la chimiothérapie s’en trouverait accrue dans un milieu pauvre en glucose et en facteurs de croissance.

La cellule saine se met en mode protection sous l’effet du jeûne alors que la cellule cancéreuse a perdu cette faculté.
La cellule saine résiste bien au jeûne, la cellule cancéreuse supporte mal le jeûne et donc disparaît sur la durée.
Cet effet est accéléré par la chimiothérapie qui n’atteint pas la cellule saine (qui s’est mise en protection) lorsque nous jeûnons, mais qui tue la cellule cancéreuse.

Le travail de recherches de Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade (livre et documentaire : "le jeûne, une nouvelle thérapie ?") fait référence aujourd’hui et a permis de mettre en avant la découverte de Yvon Le Maho, éco-physiologiste, spécialiste des réponses comportementales des organismes à leur environnement. Ce scientifique a observé pendant des années le mode de vie des manchots empereurs et notamment leur capacité à jeûner pendant presque quatre mois.
Ses observations empiriques l’ont persuadé d’une chose : "le mécanisme d’adaptation est le même chez l’animal que chez l’homme".

Les indications du jeûne



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Jeûner dans le Gers
Sylvie Rooryck

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